Réintégrons les professionnels suspendus qui ont refusé les mesures sanitaires !
Depuis le 15 septembre 2021, de nombreuses personnes doivent obligatoirement être vaccinées contre la Covid-19 pour pouvoir travailler. Ces personnes sont, pour les plus connues, les personnels soignants et les gendarmes. Il y avait aussi les employés des lieux soumis à certificat sanitaire pour l'accès.
La seule condition pour échapper à l'obligation vaccinale est d'avoir été contaminé par le virus Sars-Cov-2. Cette situation se montre par un certificat de rétablissement.
Je comprends les personnels réticents à la vaccination contre la Covid-19. Ils ont peur des effets secondaires. Les personnels de santé voient les personnels dans leurs cabinets et leurs services avec les effets secondaires de ces vaccins. Ils n'ont pas envie de subir les mêmes effets secondaires sur eux. Hélas, la loi du 5 août 2021 leur interdit d'avoir peur de ces effets secondaires, tout comme les personnes qui défendent cette mesure.
D'autres raisons expliquent cette réticence. Parmi ces raisons, il y a le fait que les vaccins anti-Covid-19 sont encore, aujourd'hui dimanche 22 mai 2022, tous en phase expérimentale, la période de recul n'est pas assez importante, l'efficacité de lutte contre cette maladie est très variable. Cette dernière change en fonction du laboratoire, du calendrier, de l'heure, d'autres paramètres.
Les personnes soumises à l'obligation vaccinale réfractaires à cette mesure n'ont plus de salaire depuis le 15 septembre 2021. Certains ont pù réintégrer leur emploi par des moyens comme des actions en justice, des certificats de contaminations. Ce n'est pas le cas de tous. Certains n'ont plus rien à manger. Ils n'arrivent plus à payer leur loyer et leurs emprunts. Ils n'arrivent plus à nourrir leur famille. Ils grapillent leur épargne. Ils font des petits boulots. Ils comptent sur la solidarité entre les personnes réfractaires aux mesures sanitaires. Heureusement que celle-ci existe. D'autres ont fini par céder et se sont fait administrer ces vaccins.
Je pose les questions :
- est-ce interdit d'avoir peur de produits encore en phase expérimentale ?
- des produits qui sont censés protéger d'une maladie avec une durée très courte et avec une efficacité de protection très aléatoires sont-ils des vaccins ou des traitements ?
- pour quelle raison vouloir administrer des produits médicaux à des gens qui ne sont pas malades ?
- combien de temps cela va-t'il durer ?
Je pense que tout cela a assez duré.
Nos soignants, nos médecins, nos vétérinaires, nos gendarmes qui ont peur des vaccins anti-Covid-19 doivent être remis immédiatement et sans conditions dans les fonctions qu'ils occupaient jusqu'au 14 septembre 2021, ou à des emplois similaires. Les salaires non-perçus entre le 15 septembre 2021 et maintenant doivent être intégralement versés avec le rattrapage de l'inflation.