Mail envoyé à tous les députés et tous les sénateurs le 7 juillet 2022

Madame la sénatrice, Monsieur le sénateur, (ou députés)

Vous aurez, d’ici quelques jours, la très lourde responsabilité d’examiner le projet de loi du gouvernement « maintenant provisoirement un dispositif de veille et de sécurité sanitaire en matière de lutte contre la covid-19 » qui propose de reconduire l’état d’urgence sanitaire pour huit mois supplémentaires. Les débats sur ce texte commenceront le 12 juillet 2022.

En tant que citoyenne, je constate, depuis plus de deux ans maintenant, que les mesures spécialement prises sur le fondement de l’état d’urgence sanitaire se sont révélées :

- DOMMAGEABLES :
* Que dire de la destruction en cours de l’économie, notamment l’économie de proximité ?
* Que dire de l’augmentation de 300% du taux de suicides des jeunes (source : chiffres de l’INSEE) ?
* Que dire de l’efficacité nulle jamais mesurée des masques ?
* Que dire des retards d’apprentissage des enfants masqués encadrés par des enseignants masqués ?
* Que dire de l’ambiance anxiogène qui s’est répandue dans le pays ?
* Que dire des médecins qui ont été empêchés de soigner ?
* Que dire de la faillite programmée des hôpitaux ?
* Que dire des soignants, pompiers, ambulanciers, et personnels administratifs hospitaliers qui ont été suspendus, laissés sans ressources, méprisés et dans une grande détresse ?
* Que dire la multiplication dramatique des effets secondaires des soi-disant vaccins ?
* Que dire de la responsabilité des médias dans la propagation de la peur ?
* Que dire du nombre inédit de procédures judiciaires que cette situation a provoqué ?
* Que dire de mon arrêt maladie pour troubles psychiatriques commencé le 21 août 2020 qui est constamment prolongé ? Le médecin conseil de mon employeur a déterminé que l’origine de ces troubles psychiatriques est les mesures sanitaires. Combien de salariés du privé et du public ont des arrêts maladies similaires au mien ? Combien vont pouvoir reprendre un jour le travail ?

- D’UNE UTILITE QUI POSE QUESTIONS :
* Le temps n’est-il pas venu de s’interroger sur l’utilité réelle, au regard de ces conséquences, de ces mesures ?
* De nombreuses personnes autour de moi, atteintes de la Covid-19, ont été soignées par des médecins consciencieux et ont guéri de cette maladie. J’ai été moi-même soignée de cette maladie par un de ces médecins, alors que je n’ai reçu aucune dose de vaccin. N’est-ce pas là une voie à suivre ?
* L’expérience d’autres pays ne doit-elle pas inspirer nos réflexions ?
* Ne doit-on pas examiner les conflits d’intérêts entre l’industrie pharmaceutique, les médias, nos dirigeants et les cabinets de conseil qui ont influencé les décisions publiques ?

Je ne me suis pas sentie protégée par les mesures découlant de l’urgence sanitaire. J’ai été agressée par plein de personnes, de citoyens, de fonctionnaires, d’employés de magasins, de petits commerçants qui obéissaient sans réfléchir à ces mesures et les faisaient appliquer. Je pense qu’une discussion publique sur ces questions est un préalable indispensable à toute nouvelle volonté de l’État de décider de ma santé, de la vôtre, de mon corps, du vôtre, de celui de nos enfants.

Cette loi est une menace pour moi, pour vous, pour nos enfants, pour tous les citoyens.

Il est hors de question de vivre et faire revivre de telles mesures à nos enfants, sans que les effets qu’elles ont entraînés n’aient été collectivement évalués.

L’heure est à la réparation de tous ces dommages, pas à leur aggravation.

Avez-vous une alternative à tout cela à proposer dans les débats ?

La Covid-19 devient une maladie insignifiante et bénigne. Elle se soigne très bien, le tout est de le vouloir.
La vie sans aucune mesure sanitaire doit revenir immédiatement et sans conditions.

Je vous demande solennellement de défendre mes libertés, mes droits et ceux de nos enfants pendant les débats et de VOTER CONTRE ce texte.

« Ceux qui peuvent vous faire croire des absurdités, peuvent vous faire commettre des atrocités », Voltaire.

Je vous prie de croire, Madame la sénatrice, Monsieur le sénateur, (ou députés) en l’expression de mes sentiments les meilleurs.